Étude de cas Fürstin von Isenburg

Le processus de vieillissement commence dès l’âge de 30 ans. Le tissu adipeux sous-cutané s’amincit, la peau perd des fibres protéiques et devient de ce fait moins élastique. C’est précisément ce que ne souhaite pas la femme d’aujourd’hui : elle veut avoir l’air jeune, fraîche et rayonnante. La perte de fermeté ne doit pas être décelée, car l’idéal est aujourd’hui plus que jamais d’être jeune et belle. Entretemps, l’envie de jeunesse éternelle s’est également propagée chez les hommes.

De plus en plus de personnes, des deux sexes, s’adressent au cabinet de chirurgie plastique de Dr. Constance Neuhann-Lorenz et Dr. princesse Sarah d’Isembourg situé à Munich. Ces deux femmes médecins, qui sont également mère et fille, discutent en profondeur avec les patients de solutions appropriées, tout en aidant néanmoins à relativiser en cas de souhaits irréalistes. Il ne faut pas nécessairement pratiquer une opération. Au contraire, il existe aussi des produits comme la série « myHyppp » que la princesse d’Isembourg a co-conçu avec d’autres chirurgiens plasticiens et scientifiques de l’Université technique de Munich dans la clinique « Rechts der Isar ».

Le produit ne contient pas seulement des ingrédients de soin, mais, bien plus encore, des agents vraiment actifs. Ceux-ci sont obtenus dans le sang des patients et surtout avec l’aide d’étuves bactériologiques BINDER. Le concept est bon et la mise en œuvre – lorsque l’on connaît le fonctionnement – plausible et scientifiquement fondée. Le processus commence par une prise de sang. L’échantillon prélevé est ensuite introduit dans une étuve bactériologique de BINDER qui, préchauffée à une température intérieure de 37 °C, c’est-à-dire la température corporelle, est déjà prête pour accueillir les cellules. Le sang se trouve dans une seringue étanche à l’air. En raison du manque d’oxygène, au bout de quatre à sept jours de stockage, des facteurs de croissance se forment, comme dans le cas d’une cicatrisation. Ces facteurs ou signaux sont filtrés hors du sang conditionné et intégrés dans la crème.

« Le corps sait bien interpréter ces signaux : il s’ensuit la production de nouveau collagène, d’élastine et de vaisseaux sanguins nourriciers », décrit la princesse d’Isembourg à propos de sa crème. Elle indique d’ailleurs que d’autres chirurgiens esthétiques utilisent déjà sa méthode dans l’étuve BINDER. « Nous obtenons de beaux résultats avec la crème, le sérum, la crème contour des yeux et le masque HYPPP Princess Mask », souligne la femme médecin qui est issue d’une famille de chirurgiens. De nombreuses femmes se sentent mieux et retrouvent leur rayonnement, et ce avec une méthode si douce. La princesse d’Isembourg déclare : « J’utilise moi-même la crème et je vois une grande différence. Les crèmes antirides normales ne peuvent pas contenir d’agents actifs. Notre crème, en revanche, si. »